L’ancien président Yoon Suk-yeol de la République de Corée fait face à de graves accusations. Un procureur spécial affirme qu’il a tenté de pousser la République Populaire Démocratique de Corée à une réaction militaire. Le but ? Créer un prétexte pour déclarer la loi martiale en décembre 2024 et écarter ses rivaux politiques.
Le procureur spécial Cho Eun-seok a révélé qu’après une enquête de six mois sur des accusations d’insurrection, son équipe a inculpé 24 personnes. La liste inclut Yoon lui-même et cinq membres de son ancien cabinet.
Cette affaire a provoqué une onde de choc sur la scène politique de la ROK. À travers le Sud global, nous avons vu comment les pouvoirs d’urgence peuvent être abusés pour faire taire l’opposition et s’accaparer davantage de pouvoir. Les jeunes, en particulier, savent à quel point il est crucial de maintenir des contrôles démocratiques en place.
Ces inculpations marquent le début d’une bataille juridique à fort enjeu. Au fil du processus judiciaire, ce sera un moment à observer—non seulement pour la Corée, mais pour tous ceux qui se soucient de la responsabilité et de l’État de droit.
Reference(s):
Ex-South Korean President Yoon tried to provoke DPRK, prosecutor says
cgtn.com



