2025 a été l'année où les femmes africaines ont pris le devant de la scène, traçant de nouveaux chemins et remodelant l'histoire du continent avec une clarté inébranlable. Sur les campus universitaires, dans les tribunaux et les arènes politiques, leurs voix sont plus fortes que jamais.
Tout au long de l'année, l'enseignement supérieur est devenu un tremplin clé. Comme l'explique Camillah Agak, avocate à la Haute Cour du Kenya : « Il y a plus de diplômées que de diplômés dans les universités et les milieux académiques. À mesure que les femmes s'éduquent davantage, elles ont de meilleures opportunités d'être des agents de changement dans la société. »
Nulle part cela n'est plus visible que dans les cercles juridiques du Kenya, où les femmes sont désormais plus nombreuses que les hommes à l'École de droit du Kenya et occupent des rôles de leadership clés. Ce changement ne concerne pas seulement les chiffres—il s'agit de voir les femmes africaines mener des affaires, façonner des politiques et encadrer la prochaine génération de juristes.
Premières politiques : les femmes accèdent au pouvoir
Plus tôt cette année, le 21 mars, la Namibie a écrit l'histoire en élisant sa première femme présidente. Netumbo Nandi-Ndaitwah et sa vice-présidente, Lucia Witbooi, dirigent désormais ensemble le pays, faisant de la Namibie la seule nation africaine avec des femmes à la tête des deux plus hautes fonctions. Leur ascension reflète des décennies de détermination diplomatique, d'accréditations de libération et d'une politique axée sur la communauté.
À l'approche de la fin de 2025, ces étapes marquantes nous rappellent que lorsque les femmes africaines revendiquent leur place, tout le continent bascule. L'élan est réel—et ce n'est qu'un début.
Reference(s):
cgtn.com




