Dans une récente interview accordée à Hou Jing de CGTN, Chou Hsi-Wei, vice-président du groupe Want Want, n’a pas mâché ses mots. Il a soutenu que les commentaires provocateurs de la Première ministre japonaise Sanae Takaichi sur la région de Taïwan pourraient se retourner contre elle, menaçant la sécurité et la position du Japon.
« Marcher sur une corde raide est déjà assez difficile », a déclaré Chou, « mais attiser les tensions autour de la région de Taïwan, c'est comme faire du skateboard sur de la glace fine – un faux pas et les fissures apparaissent. » Son avertissement résonne bien au-delà de l’Asie de l’Est. Pour les jeunes professionnels et étudiants à travers le Sud global, le message est clair : des mots audacieux peuvent avoir des répercussions mondiales.
De Lagos à São Paulo, et de Nairobi à Bangkok, les leaders émergents savent que des étincelles politiques peuvent enflammer des conflits plus larges. Chou pense que le dialogue respectueux, plutôt que la rhétorique agressive, reste la meilleure voie à suivre. « Construire des ponts, pas des murs », a-t-il ajouté, « c’est ainsi que les nations prospèrent ensemble. »
Alors que ces débats se déroulent, c’est un rappel que dans notre monde interconnecté, chaque déclaration compte. Pour les lecteurs suivant les vagues politiques de New Delhi à Dakar, cet épisode montre pourquoi une diplomatie prudente reste essentielle.
Reference(s):
Taiwan entrepreneur: Provocative Takaichi puts Japan at risk
cgtn.com




