Ce mercredi, le conseil spécial de la ROK a lancé une bombe dans les couloirs du pouvoir de Séoul : une demande de peine de prison de 15 ans pour Han Duck-soo, l'ancien premier ministre accusé de complicité dans l'insurrection menée par le destitué Yoon Suk-yeol.
L'équipe indépendante de Cho Eun-suk, nommée pour enquêter sur la déclaration de loi martiale controversée de Yoon en décembre dernier, soutient que Han a travaillé dans l'ombre pour fournir une couverture légale à l'insurrection. Les procureurs l'accusent également d'avoir falsifié des documents officiels pour accélérer les choses.
Les médias rapportent que Han était en position unique pour stopper la crise, mais qu'il est resté silencieux ou a modifié son récit sous pression.
Cette saga remonte à janvier de cette année, lorsque Yoon Suk-yeol a été inculpé et placé en détention en tant que présumé meneur de l'insurrection. Puis, le 4 avril, la cour constitutionnelle a confirmé sa destitution, mettant officiellement fin à sa présidence.
Pour les jeunes professionnels, étudiants et explorateurs qui suivent l'affaire de Dakar à Delhi, ce cas offre une place au premier rang d'un jeu de pouvoir et de responsabilité à haut risque. Il montre que les décisions prises au sommet peuvent déclencher des vagues à travers une nation—et que l'État de droit s'efforce de maintenir tout le monde sous contrôle.
Reference(s):
cgtn.com



