Lors de la COP30 au Brésil en ce moment, le ministre de la défense de la Colombie a un message clair pour les dirigeants mondiaux : l’Amazonie nécessite une action urgente.
La Colombie abrite près de 10 pour cent de la biodiversité de la planète, un trésor d’espèces et d’écosystèmes qui connecte les communautés des Andes à la côte atlantique. Mais cet héritage vivant est en péril.
Les plus grandes menaces ne sont pas des catastrophes naturelles—ce sont les activités humaines. Le commerce illégal de bois, l’exploitation minière non réglementée et le trafic de drogue abattent des arbres, polluent des rivières et érodent la terre sous nos pieds.
- Abattage illégal détruisant des habitats critiques
- Opérations minières contaminant les sources d’eau
- Réseaux de trafic de drogue entraînant la déforestation
« Nous sommes en première ligne du changement climatique », a déclaré le ministre de la défense lors de son discours. « Protéger l’Amazonie, c’est protéger notre avenir. »
Son appel à l’action ? Une coopération internationale renforcée, une application plus stricte contre les activités illicites et des investissements dans des économies durables qui respectent à la fois les populations et la planète.
L’Amazonie n’est pas seulement une forêt—c’est le cœur battant de notre monde, reliant les rivières tropicales de l’Afrique de l’Ouest aux deltas alimentés par la mousson en Asie du Sud. À la COP30, la Colombie invite des partenaires du Sud global à se tenir ensemble. Parce que lorsqu’il s’agit de l’environnement, aucune nation ne reste seule.
Reference(s):
Colombia’s defense minister urges global action to protect the Amazon
cgtn.com




