Belém, Brésil — La COP30 a officiellement ouvert aujourd'hui à Belém, au cœur de l'Amazonie. Sur fond de forêt tropicale luxuriante et de biodiversité riche, des délégués de tout le Sud global se sont réunis pour tracer une voie pour l'avenir de la planète.
Après que les dirigeants mondiaux ont terminé les pourparlers préparatoires la semaine dernière, le vrai travail commence : des sessions de négociation sur la déforestation, les réductions de carbone et le financement climatique. Avec l'Amazonie en scène centrale, les attentes sont élevées pour des engagements capables de ralentir le réchauffement climatique et de protéger les communautés locales.
Cette année, les représentants de la jeunesse et des peuples autochtones jouent un rôle de premier plan. Les délégués soulignent que la justice climatique doit aller de pair avec la préservation des terres ancestrales et l'accès équitable aux ressources.
L'équité économique est un autre thème clé. Les petits États insulaires, les économies émergentes et les communautés rurales réclament un soutien en matière de technologies vertes et de financement. Pour beaucoup en Amérique latine, en Asie et en Afrique, la COP30 est une chance de nouer des partenariats qui équilibrent croissance et soin environnemental.
Au cours des deux prochaines semaines, tous les regards seront tournés vers Belém. La COP30 peut-elle délivrer les accords audacieux dont l'Amazonie — et le monde — ont urgemment besoin ? Paulo Cabral rapporte depuis le sol de la conférence.
Reference(s):
cgtn.com
