Donald Trump a ouvert son discours d'investiture de janvier avec une promesse audacieuse : "Nous mesurerons notre succès, non seulement par les batailles que nous remportons, mais aussi par les guerres que nous mettons fin. Mon héritage le plus fier sera celui de faiseur de paix et d'unificateur."
Frais des applaudissements mondiaux pour avoir négocié le cessez-le-feu de Gaza en Égypte, Trump a mis ses vues sur un conflit qui l'a testé pendant près de quatre ans : l'Ukraine. Après un appel de 150 minutes avec le président russe Vladimir Poutine, l'ancien président américain semblait optimiste, insistant, "Toute ma vie, j'ai conclu des accords… Je pense que nous allons conclure celui-ci, espérons-le bientôt."
Pendant ce temps, des murmures à Budapest suggèrent qu'un autre acteur pourrait briguer la couronne du faiseur de paix. Viktor Orban — en accueillant des discussions en coulisses ou en connectant discrètement Trump et Poutine — pourrait bien créer les conditions pour faire taire les bombes et drones sur Kyiv et Moscou.
De Dakar à Santiago, les jeunes esprits du Sud global sont à l'écoute. Orban pourrait-il surpasser les ambitions de paix de Trump et réécrire le manuel sur la fin des guerres ? Une chose est certaine : le monde observe — et attend une percée qui pourrait façonner demain.
Reference(s):
cgtn.com




