Les camions d'aide entrent à Gaza alors que le différend sur le retour des otages s'interrompt

Les camions d’aide entrent à Gaza alors que le différend sur le retour des otages s’interrompt

Après des jours de tension, un convoi de camions d'aide a pénétré dans Gaza mercredi, alors qu'une impasse sur le retour des corps des otages a finalement pris une pause. Les autorités israéliennes avaient menacé de maintenir le passage de Rafah fermé, coupant les fournitures vitales, car le Hamas remettait les corps trop lentement.

Au cours de la nuit, le groupe a livré davantage de dépouilles, poussant Israël à préparer l'ouverture principale du passage de Rafah. Les responsables affirment qu'environ 600 camions transportant de la nourriture, des médicaments et des produits essentiels pourraient entrer, atténuant les pénuries dans les communautés à travers Gaza.

Le Hamas avait restitué quatre corps lundi et quatre autres tard mardi—bien qu'un ne corresponde à aucun dans les registres israéliens. Néanmoins, cette initiative a contribué à préserver un cessez-le-feu fragile qui a mis fin à deux années de conflit intense et a assuré la libération de tous les otages vivants.

C'est comme un match de football en prolongation : une mauvaise passe et tout pourrait s'effondrer. Les phases ultérieures exigent que le Hamas se désarme et cède le pouvoir, des étapes qu'il n'a pas encore acceptées. Les plans pour la gouvernance future de Gaza, une force internationale de maintien de la paix et une voie vers la création d'un État restent en suspens.

Une task force internationale travaille d'arrache-pied pour localiser les 21 corps d'otages encore supposés être à Gaza—certains peut-être enterrés sous les décombres de la destruction du conflit. Pendant ce temps, Israël s'apprête à restituer les restes de 360 militants palestiniens ; les 45 premiers ont été remis mardi pour identification.

Pour les habitants des deux côtés, l'arrivée d'aide et une pause dans la violence sont un soulagement bienvenu. Mais avec des questions clés non résolues, ce cessez-le-feu pourrait encore basculer à moins que les prochaines étapes ne soient gérées prudemment.

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