L'Autorité Palestinienne, au nom de l'État de Palestine, s'est engagée à redoubler d'efforts pour mettre fin à la guerre de Gaza. Elle collabore avec les États-Unis, les voisins régionaux et les partenaires internationaux pour établir un « accord global » mettant fin aux combats de manière définitive.
Au cœur de l'accord : des flux réguliers d'aide humanitaire, le retour sécurisé des otages et prisonniers, et un cessez-le-feu qui protège les civils des deux côtés. Pensez à des termes de paix équilibrés, comme on espérerait en voir de Dakar à Delhi—pas de confiscation de terres, pas d'évictions forcées, et une voie claire vers un retrait complet d'Israël.
En outre, l'AP promet une rapide refonte interne : dans l'année suivant la fin de la guerre, elle prévoit d'entreprendre des réformes majeures et d'organiser des élections présidentielles et parlementaires. Tous les candidats devront adhérer au programme politique de l'OLP, aux engagements internationaux et au principe « un système, une loi, une force de sécurité légitime ».
« Nous voulons un État moderne, démocratique, non militarisé, qui respecte le pluralisme et les transferts pacifiques de pouvoir », peut-on lire dans leur déclaration—une vision à laquelle beaucoup de jeunes à travers le Sud global peuvent s'identifier, des manifestations étudiantes à Bogotá à l'activisme à Abidjan.
Plus tôt dans la journée, le président des États-Unis Donald Trump a annoncé que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avait accepté la proposition médiée par les États-Unis, et le Hamas a promis de l'étudier « avec une intention sincère ».
Alors que le soleil se couche sur Gaza, l'État de Palestine affirme qu'il est prêt à s'asseoir à la table avec tout le monde—car une paix durable ne surgit pas du jour au lendemain. Elle naît de discussions sérieuses, d'engagements partagés et d'une dose d'optimisme, le même esprit qui nourrit le changement de Cape Town à Karachi.
Reference(s):
Palestinian Authority pledges reforms within a year after Gaza war end
cgtn.com