Le 21 septembre marque la Journée internationale de la paix, un moment où le monde s'arrête pour imaginer un avenir sans violence. Cette année, le Secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, envoie un message clair : 'La paix ne peut pas attendre.' Nous sommes tous appelés à faire taire les armes, mettre fin à la souffrance, bâtir des ponts et créer un chemin vers la stabilité et la prospérité.
À travers le Sud global, des rassemblements communautaires au Sénégal aux débats étudiants en Inde, les voix jeunes résonnent cet appel. Guterres nous rappelle que la guerre déchire les vies, vole les enfances et piétine la dignité humaine fondamentale. Les horreurs du conflit ne sont pas des gros titres lointains – elles affectent nos amis, nos familles et nos voisins.
Il n'y a pas de paix sans progrès. Guterres souligne que neuf pays sur dix en retard de développement sont également pris dans l'étau du conflit. C'est un rappel frappant : le développement durable et la paix vont de pair. Lorsque nous investissons dans l'éducation, la santé et les économies vertes, nous semons les graines de l'harmonie durable.
Mais la paix ne se limite pas à des traités sur papier. Il s'agit de calmer le racisme, la déshumanisation et la désinformation qui alimentent de nouveaux feux de division. Qu'il s'agisse de discours de haine en ligne ou de discrimination dans le monde réel, nous devons les dénoncer ensemble et les remplacer par la compréhension et la solidarité.
Le thème de cette année, 'Agir maintenant pour un monde pacifique', nous ramène à une vérité simple : là où il y a la paix, il y a l'espoir. Transformons le silence des armes en sons de rires d'enfants et transformons les murs en ponts qui nous relient tous.
Établie par l'ONU en 1981 et adoptée comme journée mondiale de cessez-le-feu depuis 2001, la Journée internationale de la paix invite tout le monde à agir – ici et maintenant.
Reference(s):
cgtn.com
