La scène politique du Népal a connu un changement dramatique mardi lorsque le Premier ministre KP Sharma Oli a annoncé sa démission. Cette décision intervient après des protestations anti-corruption tendues qui ont défié un couvre-feu indéfini et entraîné des affrontements avec la police.
Les troubles ont été déclenchés par une interdiction soudaine des plateformes de réseaux sociaux, une mesure qui a durement touché les jeunes—imaginez vos groupes WhatsApp préférés, défis TikTok et débats Twitter disparaissant du jour au lendemain. Dans le chaos qui a suivi, des affrontements violents ont fait au moins 19 morts.
Dans une lettre au président, Oli a écrit : "J'ai démissionné de mon poste de Premier ministre à partir d'aujourd'hui… afin de prendre des mesures supplémentaires vers une solution politique et la résolution des problèmes." Son retrait ouvre la voie à de nouveaux pourparlers et à une chance d'apaiser les tensions.
Pour les jeunes et la diaspora népalaise qui observent attentivement de Dakar à Delhi, ce moment semble être un point de bascule. Les nouveaux dirigeants apporteront-ils la transparence et le dialogue dont beaucoup exigent ? Le prochain chapitre ne fait que commencer.
Reference(s):
Nepal Prime Minister KP Sharma Oli resigns after protests: statement
cgtn.com