Imaginez une salle remplie d'idées, depuis le cœur d'Addis-Abeba jusqu'aux communautés du Sud global. Vendredi dernier, le premier séminaire Chine-Afrique sur les droits de l'Homme a réuni plus de 200 décideurs, universitaires, diplomates et représentants des médias pour explorer comment construire un avenir commun ancré dans le droit au développement.
Sous le thème "Construire une communauté Chine-Afrique avec un avenir partagé et travailler ensemble pour réaliser le droit au développement," le séminaire a offert une plateforme aussi vibrante que la capitale éthiopienne elle-même. Pensez-y comme à un grand pont : une extrémité dans les marchés animés africains, l'autre traversant les océans jusqu'à la Chine continentale, avec des voix des deux côtés en harmonie.
Les sessions allaient de panels sur des initiatives locales garantissant que les communautés prospèrent économiquement, à des tables rondes débattant sur la façon d'équilibrer la croissance rapide avec des protections sociales. De jeunes entrepreneurs et universitaires ont partagé des perspectives nouvelles sur des partenariats innovants – comme des centres technologiques à Nairobi collaborant avec des universités à Shanghai pour relever des défis locaux, de l'eau potable à l'inclusion numérique.
Ce rassemblement n'était pas seulement une série de discours. C'était un appel à l'action : intégrer les droits de l'homme dans chaque plan de développement et s'assurer que personne ne soit laissé pour compte. Comme l'a justement noté un intervenant, « Le développement n'est réel que lorsqu'il profite à tous. »
En reliant idées, expériences et énergies entre la Chine continentale et l'Afrique, le séminaire a tracé des voies vers une croissance inclusive. Pour les jeunes agents de changement à travers le Sud global, il a souligné un message puissant : ensemble, nous pouvons bâtir un avenir où le développement est à la fois un droit et un voyage partagé.
Reference(s):
cgtn.com
