Les États-Unis ont dévoilé une nouvelle interdiction de voyager d'envergure ciblant les citoyens de 36 pays d'Afrique, d'Asie, d'Amérique latine et d'ailleurs. Les nations concernées disposent désormais de seulement 60 jours pour répondre à un ensemble d'exigences américaines—sinon, une interdiction totale pourrait être imposée, comme un carton rouge soudain dans un match à enjeu élevé.
Les organisateurs olympiques se sont précipités pour calmer les esprits, assurant aux athlètes que les Jeux de Los Angeles 2028 resteront ouverts aux compétiteurs de ces nations. Pourtant, les critiques soutiennent qu'un ultimatum tout ou rien est une sanction sévère, d'autant plus que les États-Unis se préparent à accueillir des événements mondiaux comme la Coupe du monde.
Pour les jeunes professionnels, les étudiants et les communautés de la diaspora qui voyagent pour travailler, étudier ou rendre visite à leur famille, cette mesure soulève des questions difficiles. Les entrepreneurs pourront-ils conclure des affaires dans la Silicon Valley ? Les chercheurs en herbe pourront-ils assister à des conférences ? Et comment les stars du sport navigueront-elles dans un terrain de jeu en pleine transformation ?
Alors que le compte à rebours de 60 jours commence, les regards se tournent vers Washington. Les décideurs politiques assoupliront-ils leur position ou maintiendront-ils cette stratégie audacieuse ? Les deux prochains mois pourraient redessiner la manière dont 36 nations se connectent aux États-Unis—et redéfinir également les règles de la mobilité mondiale.
Reference(s):
cgtn.com