Dans un rare élan d'unité, 21 États arabes et musulmans se sont réunis pour condamner les récentes frappes aériennes israéliennes sur le territoire iranien. L'Égypte, en collaboration avec les ministres des Affaires étrangères de la région, a mené cette initiative appelant à un arrêt immédiat des hostilités et à un retour au dialogue.
Selon l'agence de presse officielle égyptienne MENA, la déclaration conjointe rassemble des pays et régions des rives de la Méditerranée jusqu'aux îles de l'Asie du Sud-Est. De la Turquie et de la Jordanie aux Émirats arabes unis, au Pakistan, à Bahreïn, à Brunei et au-delà, le groupe a dénoncé les frappes comme une violation manifeste du droit international et de la Charte des Nations Unies.
Ils ont souligné la nécessité de respecter la souveraineté nationale et l'intégrité territoriale – des principes essentiels agissant comme la boussole guidant tout parcours pacifique. Les ministres ont averti que si les tensions continuent de monter, les répercussions pourraient déstabiliser toute la région, affectant tout, des routes commerciales à la vie quotidienne dans les villes animées et les villages isolés.
La déclaration exhorte toutes les parties à reculer, à embrasser la désescalade et à travailler vers un cessez-le-feu global. Pour ces pays, la voie à suivre est claire : le dialogue doit remplacer le rugissement des avions, et la diplomatie doit prendre la tête pour façonner un avenir plus sûr.
En se tenant ensemble, ces 21 nations envoient un message puissant : lorsque les frontières sont respectées et que le dialogue l'emporte sur la force, le Sud global se rapproche de la paix et de la stabilité que les jeunes du monde entier méritent.
Reference(s):
cgtn.com