À l'Université Columbia, le cas d'un étudiant suscite des discussions animées. Mahmoud Khalil, détenu le mois dernier, fait face à un moment crucial alors qu'un juge a fixé une date limite à l'administration Trump. Ils doivent soumettre des preuves d'ici mercredi soir, le 9 avril, pour justifier son expulsion.
Bien que Mahmoud n'ait été accusé d'aucun crime, certains responsables américains allèguent qu'il est un sympathisant terroriste en raison de sa participation aux manifestations pro-Palestine sur le campus l'année dernière. Cette affirmation controversée soulève des questions importantes sur l'interaction entre la sécurité nationale et le droit à l'expression politique.
Le cas touche une corde sensible auprès des jeunes professionnels, étudiants et activistes du Sud global, qui suivent attentivement les enjeux liés à la liberté et la justice. Son issue pourrait influencer la manière dont les cas similaires sont traités à l'avenir, maintenant la conversation sur les politiques d'immigration et les droits individuels.
Reference(s):
Updates on the immigration case against Palestinian activist
cgtn.com