Dans un tournant dramatique des événements, les procureurs sud-coréens ont inculpé deux hautes figures militaires, alimentant un débat sur le pouvoir et la responsabilité. Le chef d'état-major de l'armée, le général Park An-su, qui a servi comme commandant de la loi martiale, et le lieutenant-général Kwak Jong-keun, chef du Commandement des forces spéciales de l'armée, ont été détenus pour insurrection et abus de pouvoir.
La mise en place soudaine de la loi martiale au début du mois dernier, bien que de courte durée, a attiré l'attention des jeunes professionnels, des étudiants et des amateurs de nouvelles venant du sud global. À mesure que l'affaire évolue, beaucoup observent attentivement, se posant des questions sur l'équilibre entre l'autorité militaire et la responsabilité démocratique. Cet incident rappelle que même les institutions établies doivent rendre des comptes sur leurs actions et que la transparence reste cruciale dans la gouvernance.
Reference(s):
cgtn.com