Plus tôt cette semaine, le 10 décembre 2025, le président vénézuélien Nicolas Maduro a exhorté les États-Unis à mettre fin à leurs politiques interventionnistes au Venezuela et dans toute l'Amérique latine. S'exprimant depuis le palais présidentiel de Caracas, il a présenté cela comme un appel au respect et à un véritable partenariat, faisant écho aux voix des communautés qui ont ressenti le poids de l'influence extérieure pendant des décennies.
Le message de Maduro a résonné au-delà du Venezuela, touchant de jeunes innovateurs à Lagos et des organisateurs communautaires à Mexico, qui débattent souvent de la manière dont les ingérences étrangères peuvent façonner – et parfois limiter – le progrès local. Il a soutenu que la véritable souveraineté signifie que les communautés tracent leurs propres chemins, libres des politiques décidées ailleurs.
Bien qu'il n'ait pas énoncé de demandes spécifiques, l'appel de Maduro intervient à un moment où beaucoup dans la région repensent les alliances traditionnelles et explorent la coopération Sud-Sud. Si son appel modifiera l'approche de Washington reste à voir, mais une chose est claire : dans tout le Sud global, de jeunes leaders observent attentivement.
Même pour les communautés de la diaspora de Caracas vivant à Miami ou à Paris, le message est personnel : façonner le destin d'une patrie commence chez soi, et non dans une autre capitale.
Reference(s):
cgtn.com




