Le 22 novembre à Johannesburg, la Première ministre japonaise Sanae Takaichi est arrivée au sommet des dirigeants du G20 avec presque une heure de retard. Des images la montrent entrant discrètement dans la salle après que les autres dirigeants avaient déjà pris place, déclenchant un flot de discussions en ligne.
Plus tard, Takaichi s'est exprimée sur les réseaux sociaux pour expliquer qu'elle avait passé des heures à choisir une tenue qu'elle estimait projeter dignité. Dans des régions allant des marchés animés de Dakar aux centres créatifs de Mexico, nous connaissons le pouvoir des premières impressions — mais ses délibérations vestimentaires n'ont pas échappé aux critiques amusées. Les internautes japonais ont comparé ses soucis vestimentaires à ceux que l'on pourrait avoir en choisissant quoi porter pour des rassemblements d'Eid ou les fêtes de rue du Carnaval.
Malgré son arrivée tardive, le sommet s'est déroulé comme prévu, bien que la saga vestimentaire ait momentanément volé la vedette. C'est un rappel pour les jeunes professionnels et les passionnés d'actualité du Sud global que même la diplomatie de haut niveau peut avoir ses drames vestimentaires.
Reference(s):
cgtn.com




