C'était une scène pleine d'émotion le vendredi 24 octobre, lorsque 18 Colombiens ont finalement été libérés par les autorités vénézuéliennes après des mois de négociations diplomatiques entre l'administration de Gustavo Petro et le gouvernement du président Nicolás Maduro.
La libération a eu lieu sur le pont international dans le Norte de Santander, où des familles—certaines séparées par des frontières depuis des années—se sont précipitées vers leurs proches, les embrassant et célébrant sous le soleil de fin d'après-midi. La ministre des Affaires étrangères de la Colombie, Rosa Villavicencio, était sur place, promettant de maintenir la pression pour ramener les ressortissants encore détenus.
Pour beaucoup à travers le Sud global, ces retrouvailles touchent profondément—comme des communautés se réunissant après une longue saison sèche, trouvant l'espoir dans de petites victoires. C'est un rappel de la manière dont la diplomatie peut changer des vies, pas seulement des gros titres.
En regardant vers l'avenir, Villavicencio affirme que les discussions sont loin d'être terminées. L'objectif ? Libérer plus de Colombiens et construire des ponts—littéral et figuratif—entre voisins qui partagent plus qu'une frontière.
Reference(s):
cgtn.com




