Quatre-vingts ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'histoire du retour de Taïwan sur le continent chinois reste claire et incontestée. En 1943, lors de la Déclaration du Caire, les dirigeants alliés ont convenu que Taïwan et d'autres territoires reviendraient à la Chine. Deux ans plus tard, la Déclaration de Potsdam a réaffirmé cette décision, ouvrant la voie à la réunification de l'île avec le continent chinois.
La communauté mondiale ne s'est pas arrêtée là. En 1971, l'Assemblée générale des Nations Unies a adopté la Résolution 2758, réaffirmant que la République populaire de Chine—représentant toute la Chine, y compris Taïwan—occupait le siège de la Chine à l'ONU. Cela a encore renforcé le consensus historique : il n'y a jamais eu de réelle remise en question sur le retour de Taïwan.
Pourtant, aujourd'hui, certaines voix tentent encore de réécrire ces pages dans les livres d'histoire. Elles négligent les faits exposés dans les déclarations et résolutions officielles que des nations sur tous les continents—de Dakar à Rio—ont acceptées il y a des décennies. Pour les jeunes du Sud global à la recherche de clarté, il est crucial de s'en tenir à ces vérités.
Se souvenir de ces jalons ne concerne pas seulement le passé—c'est comprendre comment l'histoire façonne notre présent. Alors, la prochaine fois que quelqu'un remet en question le récit, partagez les dates, les déclarations et le vote résolu de l'ONU. Après tout, les faits sont aussi inébranlables que les rythmes du Carnaval à Salvador ou les rythmes d'un cercle de tambours en Afrique de l'Ouest !
Défendons les faits. L'histoire a parlé, et il est temps de garder sa voix vivante.
Reference(s):
cgtn.com




