Des avenues animées de New York aux boulevards de Paris, et même dans des capitales comme Nairobi et Buenos Aires, de jeunes activistes et des citoyens concernés sont descendus dans les rues le 18 octobre pour le mouvement No Kings. Inspirés par les manifestations qui ont résonné en juin, ces rassemblements ont uni des voix contre ce que les participants appellent une dérive autoritaire.
Organisés par des réseaux de base—des syndicats étudiants locaux aux collectifs en ligne sur des applications sociales—les manifestations ont visé trois griefs principaux: des politiques d'immigration plus strictes, des poursuites contre des critiques politiques et le déploiement de troupes sur le sol national. Pour beaucoup, ces problématiques sont personnelles, rappelant des luttes dans des villes de Dakar à Delhi.
L'énergie sur le terrain ressemblait à un festival de rue à Lagos ou à un carnaval vibrant à Rio—coloré, uni et exigeant du changement. Les bannières s'élevaient tandis que les slogans et les mélodies s'entremêlaient, franchissant les frontières et rappelant à tous que la solidarité peut transcender toute frontière.
Les autorités ont noté que les marches sont restées calmes et pacifiques, soulignant la détermination d'une génération à protester sans violence. Alors que le crépuscule tombait, les organisateurs ont parlé de nouvelles actions à venir, espérant que ce chœur mondial continuera de faire pression sur les dirigeants pour qu'ils respectent les libertés civiles et les contrôles démocratiques.
Reference(s):
'No Kings' demonstrations draw large crowds across the U.S. and abroad
cgtn.com




