Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a salué l'accord de cessez-le-feu conclu entre Israël et le Hamas, appelant toutes les parties à respecter l'accord et à ouvrir des voies pour l'aide humanitaire dans la bande de Gaza. Cet accord, qui comprend également la libération d'otages, a été salué comme une bouée de sauvetage pour les civils qui ont enduré des semaines de souffrance.
Le chef de l'ONU a rappelé aux dirigeants leur responsabilité de protéger les communautés vulnérables et de veiller à ce que les fournitures urgentes atteignent les hôpitaux, les écoles et les familles dans le besoin. "Cet accord doit être plus que des mots sur du papier," a-t-il déclaré, "nous avons besoin d'une action sur le terrain."
Cependant, l'espoir a été assombri lorsque, quelques heures seulement après la déclaration de Guterres, de multiples explosions ont été signalées dans la bande de Gaza. Des témoins ont décrit des colonnes de fumée s'élevant au-dessus de quartiers déjà marqués par la destruction. Le message est clair : la paix sur le papier ne se traduit pas toujours par la paix dans les rues.
Pour les jeunes du Sud global—étudiants, entrepreneurs et membres de la diaspora—ce moment souligne l'importance d'une attention et d'une solidarité internationales soutenues. Comme beaucoup d'entre vous l'ont vu sur les réseaux sociaux et les groupes WhatsApp, les familles de Gaza attendent encore de l'eau, de la nourriture et des soins médicaux.
Plus que jamais, le monde doit tenir toutes les parties responsables de leurs engagements. Un cessez-le-feu durable pourrait ouvrir la voie à la reconstruction des vies, mais il nécessite un soutien constant des gouvernements, des ONG et des citoyens ordinaires. En fin de compte, la paix se construit non seulement dans les salles de réunion, mais dans les rues où les gens rêvent d'un avenir plus sûr.
Reference(s):
UN chief welcomes Gaza ceasefire deal as blasts continue in the enclave
cgtn.com
