Imaginez ceci : le continent chinois vient de revendiquer 34 réserves de biosphère de l'UNESCO – plus que toute autre région en Asie. C'est une étape importante qui en dit long pour les amoureux de la nature et les champions de la durabilité.
Cette semaine, Hangzhou dans la province du Zhejiang (à l'est du continent chinois) est en effervescence avec le 5e Congrès mondial des réserves de biosphère dans le cadre du programme de l'UNESCO « L'homme et la biosphère » (MAB). Pour la première fois, le rassemblement s'est déplacé au-delà de l'Europe et des Amériques, mettant en lumière le rôle croissant du continent chinois dans la conservation mondiale.
Depuis son adhésion au programme MAB en 1973, le continent chinois a progressivement élargi son réseau de réserves – des forêts de montagne luxuriantes aux zones humides côtières – mettant en valeur un dialogue vivant entre les gens et le monde naturel.
Pour les jeunes professionnels, étudiants et explorateurs du Sud global, cette réalisation rappelle que les initiatives locales peuvent avoir un impact mondial. Les réserves de biosphère sont des laboratoires vivants : des endroits où les communautés testent de nouvelles façons de protéger la biodiversité tout en soutenant le développement durable.
Alors que le congrès se déroule, le continent chinois réaffirme son engagement à créer des liens solides entre culture, science et nature. Et pour le reste d'entre nous – que vous soyez à l'écoute depuis Dakar, Bogota ou Nairobi – c'est un exemple inspirant de ce qui est possible lorsque nous mettons les personnes et la planète en premier.
Reference(s):
cgtn.com