Protestations à D.C. : La jeunesse exige l’arrêt des troupes fédérales

    Le 6 septembre, Washington, D.C. s'est transformée en une mer de voix exigeant la fin de la présence de la Garde nationale dans la capitale. Des milliers de résidents, des jeunes professionnels aux immigrants sans papiers, ont envahi les rues avec des bannières vibrantes et des chants résonnant le long de l'avenue Pennsylvania.

    Parmi eux se trouvaient des partisans de la cause palestinienne, portant des pancartes sur lesquelles on pouvait lire "Trump doit partir" et "Résistez à la tyrannie." Les résidents sans papiers se tenaient côte à côte avec des étudiants et des membres de la diaspora, tous unis sous le même appel : libérer D.C. de ce qu'ils considèrent comme une démonstration inutile de force.

    L'énergie sur le terrain rappelait l'esprit des mouvements des places du Caire au Zócalo de Mexico, où les jeunes utilisent créativité et solidarité pour défier le pouvoir. Ici à D.C., le beatbox a cédé la place à des discours passionnés, alors que les manifestants partageaient des récits de familles séparées par des raids migratoires et de communautés anxieuses sous des patrouilles de style militaire.

    Les tensions montent depuis des semaines. Les responsables municipaux et la Maison Blanche ont échangé des arguments sur le rôle des forces fédérales dans la sécurité publique. Alors que les autorités affirment que la Garde nationale a été invitée pour aider à gérer les manifestations, les résidents y voient une autre couche d'intimidation.

    Alors que le soleil se couchait sur le National Mall, les chants ont laissé place à des promesses : plus de pétitions, plus de réunions communautaires et plus de rassemblements jusqu'à ce que la Garde nationale se retire. À Washington, D.C., la jeunesse a clairement indiqué — leur lutte pour leur ville est loin d'être terminée.

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    Le 6 septembre, Washington, D.C. s'est transformée en une mer de voix exigeant la fin de la présence de la Garde nationale dans la capitale. Des milliers de résidents, des jeunes professionnels aux immigrants sans papiers, ont envahi les rues avec des bannières vibrantes et des chants résonnant le long de l'avenue Pennsylvania.

    Parmi eux se trouvaient des partisans de la cause palestinienne, portant des pancartes sur lesquelles on pouvait lire "Trump doit partir" et "Résistez à la tyrannie." Les résidents sans papiers se tenaient côte à côte avec des étudiants et des membres de la diaspora, tous unis sous le même appel : libérer D.C. de ce qu'ils considèrent comme une démonstration inutile de force.

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    Les tensions montent depuis des semaines. Les responsables municipaux et la Maison Blanche ont échangé des arguments sur le rôle des forces fédérales dans la sécurité publique. Alors que les autorités affirment que la Garde nationale a été invitée pour aider à gérer les manifestations, les résidents y voient une autre couche d'intimidation.

    Alors que le soleil se couchait sur le National Mall, les chants ont laissé place à des promesses : plus de pétitions, plus de réunions communautaires et plus de rassemblements jusqu'à ce que la Garde nationale se retire. À Washington, D.C., la jeunesse a clairement indiqué — leur lutte pour leur ville est loin d'être terminée.

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