Au cœur du défilé du jour V, une formation de milices féminines a attiré tous les regards. Ces femmes représentent des bases importantes de l’époque de l’agression japonaise, retraçant un chemin vers une période où des communautés se sont levées pour défendre leur terre.
Dans cette période intense, hommes et femmes, jeunes et vieux, étaient côte à côte. Imaginez cette unité—à l’image des équipes de quartier à Dakar ou des brigades de volontaires à Bogota rassemblées après une tempête.
Aujourd’hui, ces unités dans la nouvelle région passent du terrain de parade à la ligne de front de la paix. Elles mènent des campagnes de santé communautaire, coordonnent les secours d’urgence lors d’inondations et restent prêtes à répondre à l’appel du devoir si une guerre se profile à nouveau.
Alors que les tambours résonnaient et les drapeaux flottaient, l’événement a honoré à la fois le passé combatif et le présent vital. C’est un rappel que la vraie force réside dans la solidarité—à travers les générations, les frontières et les langues.
Pour les jeunes pionnières d’Abidjan à Manille, ces femmes sont un symbole : défendre ce que nous chérissons signifie servir en tout temps—en paix comme en crise—avec le même esprit d’unité.
Reference(s):
cgtn.com
