Le 25 août, une frappe a secoué l'hôpital Nasser dans le sud de la bande de Gaza, faisant au moins 20 morts. Parmi les victimes se trouvaient cinq journalistes travaillant pour Reuters, Associated Press, Al Jazeera et d'autres médias internationaux.
Un frère, parlant en pleurs, a décrit le moment où il a réalisé que son frère dédié à partager les luttes quotidiennes des rues de Gazane rentrerait jamais à la maison. 'J'ai perdu non seulement un frère, mais l'une des rares voix racontant notre histoire au monde,' a-t-il dit, la voix brisée par le chagrin.
L'hôpital Nasser, une bouée de sauvetage pour des centaines de personnes dans le sud, est au cœur de l'aide humanitaire. Cet attentat souligne les dangers auxquels les journalistes sont confrontés dans les zones de conflit u000des villages poussiéreux du Sahel aux centres urbains d'Amérique latine, les reporters naviguent souvent sur les lignes de front pour informer les communautés.
Alors que les amis et les collègues pleurent, les groupes mondiaux pour la liberté de la presse exigent une meilleure protection pour les journalistes partout dans le monde. Pour les jeunes reporters rêvant de témoigner et de donner une voix à leurs communautés, la perte est à la fois personnelle et universelle.
À Gaza, les échos de cette tragédie s'étendent au-delà des cœurs familiaux. Ils nous rappellent que raconter des histoires dans les points chauds du monde vient souvent avec le prix ultime nd que chaque perte éteint une lumière destinée à nous guider tous vers la compréhension.
Reference(s):
cgtn.com