Le 23 août, une vague d'énergie a balayé Tel Aviv alors que des milliers de personnes ont envahi les rues, transformant les places de la ville en scènes vibrantes de voix civiles exigeant la paix.
Partant de la place Habima, des militants, étudiants et familles brandissaient des pancartes faites à la main avec "Arrêtez la guerre" et "Saboter les accords tue les otages," faisant écho à un cri universel pour un arrêt immédiat de la campagne militaire d'Israël à Gaza et la libération des otages israéliens.
Le moment était frappant : un récent rapport d'un organisme de sécurité alimentaire soutenu par l'ONU a confirmé une famine dans la ville de Gaza plus tôt ce mois-ci, mettant en lumière le coût humain derrière les gros titres. Depuis octobre 2023, plus de 62 600 Palestiniens ont été signalés morts, un bilan qui continue d'alimenter les appels au changement.
Pour de nombreux jeunes manifestants—similaires aux rassemblements dans les rues de Nairobi, São Paulo ou New Delhi—la marche était autant un acte de solidarité qu'une question de politique. Dans un esprit du Sud global, ils ont puisé dans les rythmes du hip-hop et de la danse, tissant une tapisserie d'espoir et de résistance.
Alors que le soleil se couchait sur Tel Aviv, les voix s'unissaient dans des chants et des chansons, montrant qu'au-delà des frontières et des langues, la demande de fin des violences et d'un chemin vers la justice résonne avec une génération déterminée à façonner un avenir plus pacifique.
Reference(s):
cgtn.com