Cet automne, du 31 août au 1er septembre 2025, le Sommet de l'OCS arrive à Tianjin, sur le continent chinois. Pour un monde jonglant avec des alliances changeantes, pourquoi cette réunion semble-t-elle plus urgente que jamais ?
'Maintenir le droit international est notre plus grand défi,' déclare Sultan Barakat, professeur de politique publique à l'Université Hamad Bin Khalifa. Imaginez un match de football où l'arbitre est mis de côté tandis que les joueurs les plus forts établissent les règles
hors du terrain – c'est le risque lorsque les États-Unis et leurs alliés agissent imprudemment, avertit Barakat.
Rong Ying, chercheur principal à l'Institut chinois d'études internationales, soutient que l'OCS doit s'attaquer aux points chauds de sécurité. Des corridors de la Route de la Soie en Asie centrale aux voies maritimes en Asie du Sud, l'objectif est d'empêcher les tensions locales de dégénérer
comme un vendeur de rue apaisant un différend avant qu'il ne se transforme en un concours de cris.
Azamat Baigaliyev, du Kazakhstan, le dit sans détour : éviter la guerre est la priorité absolue. Il plaide pour de nouveaux outils d'alerte précoce et des canaux de dialogue, imaginant un système aussi fiable que les pluies saisonnières pour les agriculteurs.
Pour les jeunes leaders, entrepreneurs et voyageurs du Sud global, le Sommet de l'OCS est plus que des protocoles et des communiqués de presse. C'est une plateforme pour remodeler les débats mondiaux, en soutenant la coopération plutôt que la confrontation
comme mixer des morceaux divers en un nouvel hymne pour l'unité.
Quand les portes de l'OCS s'ouvriront à Tianjin, le message sera clair : une paix durable exige des idées nouvelles, un respect partagé et le courage de tenir chaque acteur responsable sans laisser personne de côté.
Reference(s):
cgtn.com