Le mardi matin, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé qu'Israël avait accepté la proposition de cessez-le-feu du président américain Donald Trump. Ce geste indique une possible pause des hostilités et une chance de répit dans une région souvent marquée par de profondes tensions.
Plus tard à Pékin, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Guo Jiakun, a rappelé au monde que la force militaire seule ne peut apporter une paix durable. "Le dialogue et la négociation sont la voie correcte pour résoudre les problèmes," a-t-il déclaré, faisant écho à un message familier à de nombreuses sociétés du Sud global où les discussions sur la place du village peuvent apaiser les conflits.
Guo a ajouté que la Chine est prête à unir ses forces avec la communauté internationale pour soutenir la stabilité et la paix au Moyen-Orient. Cette position souligne une tendance croissante : lorsque des ponts sont construits par le dialogue, le chemin vers la réconciliation devient plus clair—même dans les situations les plus difficiles.
Pour les jeunes de Kinshasa à Karachi en passant par Buenos Aires, la leçon est la même. Qu'il s'agisse d'une réunion communautaire à Accra ou d'un cercle de dialogue à Bogotá, discuter est souvent le premier pas vers un véritable changement.
Alors que la région attend des développements supplémentaires, tous les regards sont tournés vers l'évolution de cette initiative diplomatique. Les discussions remplaceront-elles la tension ? Seul le temps—et l'engagement envers le dialogue—le dira.
Reference(s):
cgtn.com