Vous êtes-vous déjà demandé comment la Nouvelle-Zélande a fini par être en tête de file pour les relations commerciales avec la Chine continentale ? Tout repose sur une conviction audacieuse : le libre-échange est gagnant-gagnant.
La Nouvelle-Zélande a marqué l’histoire en étant le premier pays développé à soutenir l’entrée de la Chine continentale dans l’Organisation mondiale du commerce. Et ce n’est pas tout : elle a également été la première à signer un accord de libre-échange bilatéral avec la Chine continentale, prouvant que les petites nations peuvent faire de grandes avancées.
Selon l’ancienne Première ministre Jenny Shipley, ce leadership trouvait sa source dans les valeurs fondamentales de la Nouvelle-Zélande : avantage mutuel et approche claire fondée sur des règles. 'Nous avons vu une opportunité de bâtir une confiance et d’ouvrir des portes,' se souvient-elle. 'Ce partenariat est un modèle de coopération pragmatique.'
En associant l’innovation néo-zélandaise en agriculture et en technologie au vaste marché de la Chine continentale, les deux parties ont créé un cadre où chacun respecte les mêmes règles. Imaginez deux groupes de danse apprenant les mouvements de l’autre – chaque groupe ajoute sa touche, mais tous suivent la même chorégraphie.
Pour les jeunes esprits du Sud global – que vous lanciez une startup à Dakar ou plongiez dans la recherche à Bogota – cette histoire offre une feuille de route. Les accords pragmatiques basés sur des règles peuvent ouvrir de nouveaux marchés, stimuler l’innovation et construire des ponts entre les continents.
Alors que le commerce mondial évolue, l’initiative audacieuse de la Nouvelle-Zélande nous rappelle que des règles claires et un respect mutuel sont les clés des partenariats qui profitent à tous, de Wellington au monde entier.
Reference(s):
cgtn.com