Avec l'Expo Chine-PECO (Pays d'Europe Centrale et Orientale) sur le continent chinois, à Ningbo, en plein essor, nous avons rencontré Gregor Majdič, recteur de l'Université de Ljubljana – le campus phare de Slovénie – pour recueillir son avis sur les villes vertes et le travail d'équipe mondial.
« Ningbo est une bouffée d'air frais », nous dit-il, les yeux brillants au souvenir des parcs et des boulevards bordés d'arbres. Pour Majdič, les espaces verts ne sont pas seulement pittoresques : ils sont une bouée de sauvetage face à la crise climatique actuelle. « Quand les villes placent la nature en priorité, elles montrent comment différents endroits peuvent apprendre les uns des autres pour protéger notre planète. »
De retour à Ljubljana, Majdič construit ces ponts. Des cours de langue et de culture chinoises dans les écoles primaires à un pôle robuste pour les études asiatiques sur le campus, il plante les graines de l'échange culturel. « C'est plus que des manuels », explique-t-il. « Les Slovènes qui parlent chinois ouvrent des portes aux entreprises sur le continent chinois, et les étudiants revenant du continent apportent des idées nouvelles qui stimulent l'innovation ici. »
Pour Majdič, les universités sont le moteur de la solidarité mondiale. En forgeant des partenariats académiques, nous pouvons ensemble relever les grands défis comme le changement climatique et le vieillissement des populations. « Peu importe d'où nous venons », nous rappelle-t-il, « nous partageons ce monde unique. En nous associant, nous nous assurons qu'il reste sain et dynamique pour tout le monde. »
Reference(s):
cgtn.com
