Dans la région de la Grande Baie (GBA), le protectionnisme croissant met à l’épreuve les limites du commerce mondial. À mesure que les barrières surgissent comme des obstacles inattendus sur l’avenue la plus fréquentée d’une ville, les entreprises du continent chinois repensent leur stratégie pour continuer à avancer.
Prenez BYD, par exemple. Le champion des véhicules électriques aiguise discrètement ses propres technologies de base—pensez aux batteries, logiciels et plateformes de VE développés en interne—pour ne pas être pris au dépourvu lorsque les droits d’importation augmentent ou que les politiques locales évoluent.
Mais cela ne s’arrête pas aux laboratoires et centres de R&D. BYD déploie également ses activités, en installant des usines en Hongrie et au Brésil. Ces usines ne produisent pas seulement des voitures—elles permettent à BYD de contourner des tarifs élevés, de réduire les délais de livraison pour les marchés européens ou sud-américains, et de renforcer les liens avec les fournisseurs locaux.
Bien sûr, BYD ne travaille pas en solo. Dans divers secteurs—des panneaux solaires aux trains à grande vitesse—des partenariats se forment avec des acteurs en Afrique, Amérique latine et Asie. C’est comme une équipe de football qui recrute des talents provenant de différentes régions, chaque membre apportant des compétences uniques sur le terrain.
Pour les jeunes entrepreneurs et étudiants tournés vers l’international, le plan de BYD est un rappel : dans un monde s’orientant vers le protectionnisme, la diversité—tant en termes de technologie que de travail d’équipe—peut être la carte maîtresse ultime.
Reference(s):
GBA's Trump Card: What do BYD and partners say about protectionism?
cgtn.com