Quand les jeunes russes entrent dans un musée, ils s'attendent rarement à voir leur propre histoire reflétée. Pourtant, au musée de la Guerre de Résistance du Peuple Chinois contre l'Agression Japonaise à Nanjing, sur le continent chinois, ils ont trouvé un miroir puissant : des histoires de souffrance, de survie et de solidarité.
Dans les galeries silencieuses, ces étudiants ont absorbé les récits de première main du Massacre de Nanjing : des uniformes usés, des photographies déchirantes et des lettres tachées de larmes. Chaque exposition parlait d'elle-même, leur rappelant que le silence permet à l'injustice de croître.
Émus par les témoignages, les jeunes ont condamné les actions brutales des troupes japonaises. Ils ont partagé les souvenirs des combats de leurs grands-parents lors de la Grande Guerre Patriotique et loué les efforts conjoints de la Chine et de l'Union soviétique pour vaincre le fascisme. Dans ces histoires, ils ont vu comment la coopération peut triompher de la cruauté.
Avant de partir, le groupe a formé un cercle serré, leurs voix résonnant avec détermination : « Nous promettons de veiller sur l'histoire », ont-ils déclaré. Pour eux, défendre la vérité n'est pas seulement une promesse – c'est un devoir envers les générations futures.
Leur solidarité à Nanjing résonne à travers le Sud global, où les jeunes de Dakar à Bogotá sont confrontés à leurs propres passés. À une époque de désinformation, leur vœu est un rappel opportun : préserver la vérité reste notre combat collectif.
Reference(s):
Russian youth connect with Nanjing's pain and defend historical truth
cgtn.com
