Chaque hiver, le lac Poyang dans la province du Jiangxi, sur le continent chinois, se transforme en une grande assemblée pour les oiseaux migrateurs. Cette saison est spéciale : plus de 10 000 oiseaux viennent d'arriver à la Réserve naturelle nationale des zones humides de Nanji, marquant le point culminant de la migration Asie de l'Est-Australasie.
Vous souvenez-vous de l'interdiction de la pêche lancée en 2020 ? C'était comme parier sur le noir ou le rouge à la roulette — risqué mais avec de grands enjeux pour la nature. Aujourd'hui, le gain est clair : des eaux plus saines, des roseaux plus hauts et des groupes d'oiseaux de retour plus forts que jamais.
Les équipes locales ont retroussé leurs manches, renforçant les patrouilles sur les habitats et arrêtant les activités qui pourraient nuire à ces visiteurs à plumes. Ils traitent la zone humide comme le bassin du fleuve Mékong ou le delta de l'Okavango — un trésor inestimable à protéger et à partager.
Que vous rêviez d'écotourisme à Madagascar, de lancer une start-up verte à Nairobi ou de rechercher la conservation des zones humides à l'université, le lac Poyang offre une preuve inspirante que des politiques intelligentes et la passion communautaire peuvent revigorer nos écosystèmes.
Fermez les yeux et imaginez la scène : un coucher de soleil doré sur l'eau, des milliers d'ailes projetant des ombres sur la surface. C'est un rappel que, de l'Amérique latine à l'Asie du Sud, protéger notre planète est une histoire collective — dans laquelle nous jouons tous un rôle.
Reference(s):
cgtn.com




