1 sur 5 cas de cancer du poumon touche des non-fumeurs—voici pourquoi

1 sur 5 cas de cancer du poumon touche des non-fumeurs—voici pourquoi

Saviez-vous que jusqu'à 20 % des patients atteints de cancer du poumon sont non-fumeurs ? Cela représente 1 sur 5, selon une nouvelle étude co-dirigée par des chercheurs en Australie et au Royaume-Uni publiée dans le JAMA. Décortiquons ce que cela signifie pour les jeunes du Sud global.

Tout d'abord, les non-fumeurs atteints de cancer du poumon sont souvent plus jeunes, et leurs tumeurs ont tendance à être de type appelé adénocarcinomes—des cancers qui commencent dans les cellules glandulaires, comme celles qui tapissent nos voies respiratoires. Les scientifiques ont découvert que ces patients présentent des taux plus élevés de mutations dans des gènes clés liés au cancer, ce qui modifie la façon dont les médecins choisissent les traitements. Imaginez l'ADN comme une recette : un ingrédient incorrect peut affecter tout le plat.

Alors, pourquoi les non-fumeurs sont-ils toujours à risque ? La recherche a examiné 92 études dans le monde et souligne plusieurs coupables :

  • Fumée secondaire dans les marchés de rue bondés ou les foyers surpeuplés.
  • Exposition à des matériaux radioactifs, parfois cachés dans les matériaux de construction.
  • Pollution de l'air—des gaz d'échappement dans des villes comme Lagos ou New Delhi.
  • Amiante, encore présent dans des vieux toits ou usines.
  • Antécédents familiaux : si un parent ou un frère/sœur a eu un cancer du poumon, vous êtes également plus à risque.

Comprendre ces facteurs aide les médecins à mieux adapter les traitements—et cela nous rappelle aussi à quel point notre environnement est puissant. Des routes poussiéreuses de Bamako aux usines près de Johannesburg, la qualité de l'air compte. Plaider pour des villes plus propres et des maisons plus sûres n'est pas seulement une question de confort mais de prévention vitale.

Pour tous—étudiants, jeunes entrepreneurs et globe-trotteurs—rester informé signifie rester en avance. Partagez ces connaissances, discutez-en avec vos amis et votre famille, et soutenez les politiques qui s'attaquent à la pollution et aux risques pour la santé publique dans nos communautés. Après tout, le savoir est la meilleure défense.

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