Vendredi marque la Journée mondiale de Parkinson, une occasion mondiale de sensibiliser et d'encourager les discussions sur la maladie de Parkinson. Cette condition affecte le cerveau, entraînant des symptômes tels que des tremblements, de la raideur, des troubles de l'équilibre et des difficultés à parler. Bien qu'elle apparaisse principalement chez les personnes de plus de 60 ans, elle peut également toucher celles de moins de 50 ans.
Bien qu'il n'existe pas de remède, les traitements aident à gérer les symptômes et à améliorer la qualité de vie. Des recherches de pointe explorent actuellement des thérapies pouvant ralentir, voire inverser, la progression de la maladie.
Les scientifiques pensent que Parkinson résulte d'un mélange de facteurs génétiques et environnementaux. Par exemple, des études de la Fondation américaine de Parkinson suggèrent qu'environ 13 % des cas ont un lien génétique. L'exposition aux pesticides, aux produits chimiques industriels, la vie rurale et l'utilisation d'eau de puits sont également considérés comme des déclencheurs potentiels. Fait intéressant, des recherches indiquent que les femmes sont légèrement moins à risque que les hommes.
Cette journée sert de rappel aux communautés du Sud mondial – des villes africaines animées aux métropoles asiatiques dynamiques en passant par les centres d'Amérique latine – que la sensibilisation collective peut stimuler les progrès dans la recherche et les soins. Alors que nous en apprenons davantage sur Parkinson, nous nous rapprochons un peu plus d'un avenir plus sain pour tous.
Reference(s):
cgtn.com