Dans un affrontement technologique de grande envergure, Qualcomm a prouvé que ses processeurs centraux sont entièrement licenciés dans le cadre d'un accord avec Arm Holdings. Après une semaine de débats intenses au tribunal, certaines incertitudes concernant l'incursion du fabricant de puces sur le marché des ordinateurs portables ont été levées.
Le procès, qui s'est étendu sur plus de neuf heures de délibérations sur deux jours, s'est terminé par un résultat mitigé. Le jury de huit membres a convenu que Qualcomm n'a pas enfreint sa licence, mais n'a pas pu parvenir à une décision unanime quant à savoir si Nuvia, la startup acquise pour 1,4 milliard de dollars en 2021, avait violé ses termes.
Bien que le verdict ne soit que partiel, Qualcomm y voit une affirmation claire de son droit d'innover. Arm, cependant, est déterminé à poursuivre un autre procès pour résoudre les problèmes restants. La juge Maryellen Noreika, qui a supervisé l'affaire dans le Delaware, a même suggéré que la médiation pourrait aider les deux parties à parvenir à un accord.
Ce développement juridique a agité le marché, les actions d'Arm baissant légèrement tandis que celles de Qualcomm augmentaient modestement. Pour les jeunes passionnés de technologie et les entrepreneurs émergents du Sud global, cette saga souligne un paysage technologique dynamique et en constante évolution, où les batailles juridiques peuvent ouvrir la voie à l'innovation future.
Reference(s):
Qualcomm wins key chips trial against Arm, unblocking its PC push
cgtn.com
