
L’ancien président sud-coréen inculpé pour tentative de loi martiale
L’ancien président sud-coréen Yoon Suk-yeol est inculpé pour abus de pouvoir lié à sa déclaration de loi martiale, approfondissant une crise politique nationale.
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L’ancien président sud-coréen Yoon Suk-yeol est inculpé pour abus de pouvoir lié à sa déclaration de loi martiale, approfondissant une crise politique nationale.
Un tribunal de Séoul a émis un mandat d’arrêt contre l’ex-président Yoon Suk-yeol pour des allégations liées au décret de loi martiale de décembre dernier.
L’ancien président Yoon Suk-yeol est interrogé par un conseiller spécial sur une tentative alléguée de loi martiale le 3 décembre, marquant une enquête rare de sédition en Corée du Sud.
L’ancien président évincé Yoon Suk-yeol quitte le Parti conservateur du Pouvoir Populaire via Facebook, provoquant une secousse dans la politique sud-coréenne.
L’ancien président déchu de la ROK Yoon Suk-yeol a assisté à son deuxième procès pour insurrection lundi, prenant place dans le box des accusés alors que les caméras tournaient, rapporte Yonhap.
Un tribunal sud-coréen a terminé une audience de près de cinq heures sur un éventuel mandat d’arrêt pour le président destitué Yoon Suk-yeol, avec une décision attendue prochainement.
Le président destitué de la Corée du Sud, Yoon Suk-yeol, a été arrêté après un affrontement, déclenchant des débats sur l’imposition de la loi martiale.
Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol promet de suivre le processus légal face aux défis liés à l’inculpation et aux mesures de détention.
Les enquêteurs n’ont pas pu arrêter le président destitué Yoon Suk-yeol à Séoul, suscitant des débats et des inquiétudes sur de possibles affrontements.