
Les enquêteurs sud-coréens tentent d’arrêter le président destitué Yoon
L’équipe d’enquête sud-coréenne fait un geste audacieux en tentant d’arrêter le président destitué Yoon Suk-yeol à la résidence présidentielle.
La voix vibrante du monde méridien
L’équipe d’enquête sud-coréenne fait un geste audacieux en tentant d’arrêter le président destitué Yoon Suk-yeol à la résidence présidentielle.
La police sud-coréenne a dispersé les partisans du président destitué Yoon Suk-yeol près de la résidence présidentielle à Séoul après qu’un mandat d’arrêt a été émis par un tribunal de Séoul.
Le leader intérimaire de la ROK, Choi, refuse les démissions des conseillers alors que les développements sur la destitution intensifient les tensions politiques en Corée du Sud.
Un tribunal sud-coréen a émis un mandat d’arrêt contre le président destitué Yoon pour son imposition de la loi martiale, marquant une étape judiciaire historique.
Le président sud-coréen Yoon soumettra son opinion écrite et une lettre de désignation d’avocat de la défense alors que le tribunal examine une demande de mandat d’arrêt liée à des accusations concernant la loi martiale.
Le siège conjoint d’enquête de Corée du Sud dépose un mandat d’arrêt contre le président Yoon Suk-yeol après qu’il ait manqué une convocation concernant son imposition de la loi martiale.
La Cour constitutionnelle de Corée du Sud confirme que l’audience préliminaire sur la destitution du président Yoon Suk-yeol se tiendra le 27 décembre, en plein tension politique croissante.
Des manifestations éclatent à Séoul alors que les jeunes voix s’affrontent sur la loi martiale controversée et les accusations de fraude électorale du président destitué Yoon.
L’unité d’enquête de Corée du Sud a convoqué le président destitué Yoon Suk-yeol pour un interrogatoire le 25 décembre concernant des accusations d’insurrection et charges connexes.
La cour constitutionnelle de Corée du Sud renvoie un avis de destitution au président Yoon après un rejet répété par son service de sécurité.