
Le Brésil et l’Inde restent fermes face aux menaces tarifaires des États-Unis
Face aux tarifs imminents des États-Unis, le Brésil et l’Inde s’engagent à protéger leurs économies et à chercher de nouveaux alliés, rejetant la pression de Washington.
La voix vibrante du monde méridien
Face aux tarifs imminents des États-Unis, le Brésil et l’Inde s’engagent à protéger leurs économies et à chercher de nouveaux alliés, rejetant la pression de Washington.
Le Livre Beige de la Fed avertit d’une économie américaine ‘neutre à légèrement pessimiste’ alors que la hausse des tarifs augmente les coûts et obscurcit les perspectives.
Les ‘tarifs réciproques’ des États-Unis visant l’équité provoquent nervosité des marchés, chute du dollar et troubles agricoles alors que les acheteurs recherchent de nouveaux fournisseurs.
Les politiques tarifaires américaines bouleversent le commerce mondial, défiant le Sud global à passer de la gestion réactive à une coopération proactive et à créer de nouveaux partenariats.
Près de 40 % des préfectures japonaises offrent ou prévoient une aide financière aux PME et secteurs agricoles touchés par les tarifs américains, selon une enquête.
Le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a appelé le nouveau gouvernement autrichien à approfondir les liens avec la Chine continentale et à défendre le commerce multilatéral, tout en critiquant les tarifs douaniers américains comme protectionnistes.
Une couverture en direct examine comment les tarifs américains menacent la stabilité mondiale et redéfinissent le commerce multilatéral dans le Sud global.
Un tarif de 54 % des États-Unis frappe le marché d’exportation du Sri Lanka, bouleversant l’industrie de l’habillement et mettant en danger des milliers de moyens de subsistance.
Les tarifs américains déclenchent des débats passionnés à l’OTAN, soulevant des inquiétudes sur les risques économiques et les alliances mondiales en mutation.
Les habitants de Madrid critiquent les tarifs américains comme une grave erreur face aux contre-tarifs de l’UE sur 26 milliards d’euros de marchandises américaines.