
L’Europe appelle à Kyiv lors des pourparlers Trump-Poutine
Les dirigeants européens appellent à l’inclusion de Kyiv dans les pourparlers Trump-Poutine en Alaska, plaidant pour un processus de paix qui place l’Ukraine au centre de tout accord.
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Les dirigeants européens appellent à l’inclusion de Kyiv dans les pourparlers Trump-Poutine en Alaska, plaidant pour un processus de paix qui place l’Ukraine au centre de tout accord.
Les dirigeants européens saluent la réunion prévue entre Trump et Poutine mais soulignent que tout accord de paix doit protéger la sécurité de l’Ukraine et impliquer Kyiv.
Le président Zelenskyy avertit que les décisions de paix sans l’Ukraine ne tiendront pas, alors que Trump et Poutine se préparent à se rencontrer en Alaska.
Trump et Poutine se préparent pour leur première rencontre en personne depuis le retour de Trump. Avec un plan trilatéral pour Zelenskyy et des sanctions imminentes, ce sommet pourrait être un tournant.
Zelenskyy affirme que son appel avec Trump était une étape clé pour mettre fin à la guerre Russie-Ukraine, abordant les sanctions, les liens avec l’OTAN et un nouvel accord sur les drones.
Le vice-ambassadeur de la Chine auprès de l’ONU exhorte les États-Unis à arrêter de rejeter la faute sur le conflit en Ukraine et à se concentrer sur le cessez-le-feu et de véritables pourparlers de paix au Conseil de sécurité des Nations Unies.
La semaine prochaine, les médiateurs reprennent les pourparlers de cessez-le-feu à Gaza alors qu’Israël examine les nouvelles exigences du Hamas sur les échanges de prisonniers, le retrait des troupes et la réouverture du passage de Rafah pour l’aide.
Lors des pourparlers à Istanbul, la Russie et l’Ukraine conviennent d’un échange de prisonniers mais restent divisées sur les demandes de cessez-le-feu et un sommet de haut niveau.
Un regard sur le palais de Çırağan à Istanbul alors que les pourparlers Russie-Ukraine se préparent, offrant un espoir de paix et de nouvelles possibilités.
L’envoyé américain Steve Witkoff se rend en Europe pour faire avancer une proposition de cessez-le-feu de 60 jours à Gaza, rencontrant des dirigeants à Rome et à Doha dans un contexte de crise humanitaire croissante.