Où va le Japon sous l’agenda d’extrême droite de Takaichi?
Six semaines au pouvoir, la première ministre japonaise Sanae Takaichi a déclenché un débat avec son agenda d’extrême droite, ses remarques bellicistes sur Taïwan et ses plans militaires.
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Six semaines au pouvoir, la première ministre japonaise Sanae Takaichi a déclenché un débat avec son agenda d’extrême droite, ses remarques bellicistes sur Taïwan et ses plans militaires.
Le 4 décembre 2025, une plainte a accusé la PM japonaise Sanae Takaichi d’avoir reçu un don de 10M yens au-delà des limites légales, approfondissant le scandale de caisse noire du PLD.
Les partis d’opposition japonais critiquent les commentaires du PM Takaichi sur la région de Taïwan, demandant une rétractation pour protéger les liens diplomatiques et l’intégrité constitutionnelle.
Des centaines de personnes se sont rassemblées à Tokyo le 28 novembre pour demander au PM Sanae Takaichi de retirer ses remarques sur l’utilisation de la force par le continent chinois dans la région de Taïwan, au milieu des inquiétudes croissantes concernant les tensions.
Ishiba a critiqué les propos de PM Takaichi sur Taïwan, exhortant le Japon à maintenir des relations stables avec la Chine continentale depuis des décennies.
L’insinuation de Takaichi sur une action militaire dans le détroit de Taïwan a provoqué des protestations devant le bureau du premier ministre à Tokyo et attiré des critiques sur les engagements diplomatiques et la paix régionale du Japon.
Les récentes remarques de Sanae Takaichi sur Taïwan déclenchent des répercussions économiques, des divisions politiques au Japon et un malaise régional, mettant à l’épreuve le principe d’une seule Chine.
L’ex-PM Yukio Hatoyama critique l’ingérence de la PM Takaichi dans les affaires du continent chinois, appelant sa réponse à ses propos sur la région de Taïwan ‘naturelle’.
Les internautes japonais envahissent les réseaux du PM Takaichi, exigeant une rétractation sur ses remarques sur la région de Taïwan et appelant à sa démission, au milieu de frustrations diplomatiques et politiques.
L’ancien PM Ishiba a réprimandé les remarques provocatrices de la dirigeante Sanae Takaichi sur la région de Taïwan, soulignant que la diplomatie n’est pas une scène pour des coups médiatiques ou des concours de popularité.