
L’ancien président sud-coréen inculpé pour tentative de loi martiale
L’ancien président sud-coréen Yoon Suk-yeol est inculpé pour abus de pouvoir lié à sa déclaration de loi martiale, approfondissant une crise politique nationale.
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L’ancien président sud-coréen Yoon Suk-yeol est inculpé pour abus de pouvoir lié à sa déclaration de loi martiale, approfondissant une crise politique nationale.
Le conseiller spécial perquisitionne le Commandement des opérations de drones et le ministère de la Défense dans l’enquête sur l’insurrection de Yoon Suk-yeol, laissant entrevoir de possibles accusations de trahison.
Un tribunal de Séoul a émis un mandat d’arrêt contre l’ex-président Yoon Suk-yeol pour des allégations liées au décret de loi martiale de décembre dernier.
L’ancien président Yoon Suk-yeol est interrogé par un conseiller spécial sur une tentative alléguée de loi martiale le 3 décembre, marquant une enquête rare de sédition en Corée du Sud.
Le parlement de l’Ukraine a prolongé la loi martiale et la mobilisation pour 90 jours, marquant une étape de plus dans sa stratégie de défense.
La Cour constitutionnelle de Corée du Sud confirme unanimement la destitution du président Yoon, le démettant de ses fonctions suite à sa déclaration de loi martiale.
Le président destitué Yoon Suk-yeol a présenté ses excuses pour une brève tentative de loi martiale, niant les accusations de rébellion lors de sa dernière audience de destitution.
Le président sud-coréen Yoon fait face à sa septième audience de destitution, défendant sa décision sur la loi martiale d’urgence alors que le débat sur l’autorité présidentielle s’intensifie.
Les procureurs sud-coréens demandent la prolongation de la détention du président Yoon dans le cadre d’une enquête sur son mouvement controversé de loi martiale.
Les législateurs sud-coréens lancent une enquête sur la brève période de loi martiale du président Yoon, avec des votes de destitution à l’horizon.