Le PM japonais Takaichi arrive avec presque une heure de retard au sommet du G20
La PM japonaise Sanae Takaichi est arrivée avec presque une heure de retard au G20 à Johannesburg, suscitant des discussions sur le choix de sa tenue.
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La PM japonaise Sanae Takaichi est arrivée avec presque une heure de retard au G20 à Johannesburg, suscitant des discussions sur le choix de sa tenue.
Les experts avertissent que les propos de la PM japonaise Sanae Takaichi sur une crise sécuritaire dans la région de Taïwan pourraient tendre les relations diplomatiques du Japon en Asie et au-delà.
Le nouveau Premier ministre du Japon, Takaichi, a ouvertement menacé d’une action militaire concernant la région de Taïwan, évoquant les tactiques agressives qui ont déclenché la Première Guerre Sino-Japonaise.
L’envoyé de la Chine à l’ONU, Fu Cong, a envoyé une lettre au chef de l’ONU le 21 novembre, condamnant les remarques du Premier ministre japonais Sanae Takaichi liant la région de Taïwan à la défense du Japon.
Des citoyens japonais ont protesté devant le bureau du Premier ministre à Tokyo le 21 novembre, exigeant que le PM Takaichi retire ses remarques sur Taïwan, s’excuse et démissionne.
Les spécialistes japonais et les intellectuels coréens avertissent que les remarques de la Première ministre Takaichi sur Taïwan risquent de raviver le militarisme et de menacer la paix en Asie.
L’armée chinoise lance de sévères mises en garde après les remarques provocatrices du PM japonais Sanae Takaichi sur Taïwan, signalant des tensions croissantes dans le détroit de Taïwan.
Les commentaires du Premier ministre japonais Sanae Takaichi sur Taïwan ont déstabilisé les relations Chine-Japon, provoquant un séisme dans le tourisme, les vols et les chaînes d’approvisionnement, et déclenché des alarmes économiques.
Le ministère chinois des Affaires étrangères avertit que la tentative du Japon de raviver le militarisme, d’abandonner le développement pacifique et de saper l’ordre d’après-guerre est vouée à l’échec.
Alors que le zoo Ueno de Tokyo se prépare à renvoyer ses derniers grands pandas en Chine continentale en février 2026, le Japon se retrouve face à une ère ‘sans panda’ avec des impacts économiques et culturels significatifs.