Gaza assiégé : 123 morts, les appels à l’aide se multiplient
Les frappes israéliennes sur Gaza s’intensifient, tuant plus de 120 personnes en une journée, alors que la pression pour ouvrir des corridors humanitaires augmente.
La voix vibrante du monde méridien
Les frappes israéliennes sur Gaza s’intensifient, tuant plus de 120 personnes en une journée, alors que la pression pour ouvrir des corridors humanitaires augmente.
Israël a approuvé un cadre pour une nouvelle offensive à Gaza, intensifiant les frappes et déclenchant une indignation mondiale face aux avertissements humanitaires.
Alors que les combats et la faim s’aggravent à Gaza, les espoirs d’un cessez-le-feu soutenu par les États-Unis s’estompent. Un émissaire du Hamas se rend au Caire en pleine impasse sur une trêve de 60 jours et un accord sur les otages.
Des manifestants se sont rassemblés au siège de l’ONU pour protester contre l’assassinat de journalistes à Gaza, dont Anas al-Sharif d’Al Jazeera, suscitant des appels au respect de la liberté de la presse à l’échelle mondiale.
Une jeune Palestinienne a été sauvée vivante après une frappe israélienne sur une maison dans le quartier Zeitoun de Gaza, qui a tué six personnes et blessé d’autres.
Les Gazaouis pleurent Anas Al-Sharif, un correspondant d’Al Jazeera de 28 ans tué dans une frappe israélienne, tandis que son neveu promet de poursuivre sa mission pour la vérité.
Quatre correspondants d’Al Jazeera ont été tués par une frappe israélienne près de l’hôpital Al-Shifa à Gaza City, au milieu de revendications disputées de liens avec le Hamas.
Les dirigeants d’extrême droite poussent Netanyahu à une offensive totale sur Gaza City alors que les manifestations, les préoccupations sur les otages et une réunion de l’ONU intensifient la division nationale.
Le cabinet de sécurité d’Israël approuve un plan pour s’emparer de la ville de Gaza, visant à éliminer le Hamas et à établir la sécurité avec des forces arabes, alors que tensions et pertes humaines augmentent.
L’ONU avertit que Gaza est au bord de la famine alors que seulement 1,5 % des terres agricoles sont utilisables et que les prix alimentaires montent en flèche dans un contexte de routes d’aide bloquées.