
Crise en Corée du Sud : le président destitué résiste à l’arrestation
Scènes dramatiques en Corée du Sud alors que le président destitué résiste à son arrestation après un décret de loi martiale avorté, aggravant une crise politique.
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Scènes dramatiques en Corée du Sud alors que le président destitué résiste à son arrestation après un décret de loi martiale avorté, aggravant une crise politique.
Un mois dramatique en République de Corée avec loi martiale d’urgence, démarches de destitution et un mandat de détention historique culminant en une confrontation tendue.
Confrontation historique en Corée du Sud alors que les enquêteurs échouent à arrêter le président destitué Yoon Suk-yeol dans un climat de haute tension politique.
Les enquêteurs à Séoul échouent à arrêter le président destitué Yoon lors d’une impasse tendue et sans précédent.
La Cour constitutionnelle de la Corée du Sud commencera les audiences du procès en destitution du président Yoon le 14 janvier, avec une session de secours prévue le 16 janvier.
La police sud-coréenne exécute un mandat d’arrêt contre Yoon destitué alors que les plaidoiries du procès sont prévues pour le 14 janvier.
Le leader intérimaire de la ROK, Choi, refuse les démissions des conseillers alors que les développements sur la destitution intensifient les tensions politiques en Corée du Sud.
La Cour constitutionnelle de Corée du Sud demande des nominations judiciaires rapides dans le cadre d’un procès en destitution houleux concernant l’imposition de la loi martiale.
Un tribunal sud-coréen a émis un mandat d’arrêt contre le président destitué Yoon pour son imposition de la loi martiale, marquant une étape judiciaire historique.
Le président intérimaire Choi Sang-mok a été inculpé pour des accusations d’insurrection dans le contexte turbulent de la scène politique sud-coréenne suite aux efforts de destitution.