Yoon fait face à une enquête sur une brève période de loi martiale
Les législateurs sud-coréens lancent une enquête sur la brève période de loi martiale du président Yoon, avec des votes de destitution à l’horizon.
La voix vibrante du monde méridien
Les législateurs sud-coréens lancent une enquête sur la brève période de loi martiale du président Yoon, avec des votes de destitution à l’horizon.
L’arrestation du président destitué Yoon Suk-yeol marque un moment historique en Corée du Sud, ouvrant la voie à un examen politique intense.
Un tribunal sud-coréen prolonge le mandat d’arrêt contre le président destitué Yoon Suk-yeol, ouvrant la voie à une deuxième initiative judiciaire.
La Cour constitutionnelle de Corée du Sud ajourne la première session du procès en destitution de Yoon en raison de son absence, avec des arguments supplémentaires prévus jeudi.
Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol manquera la première audience de destitution en raison de préoccupations de sécurité non résolues alors que des efforts sont en cours pour faire appliquer un mandat d’arrêt.
Le chef de la sécurité de S. Corée, Park Jong-joon, est interrogé sur une présumée obstruction à l’exécution d’un mandat d’arrêt contre le président Yoon, dans un contexte de tensions politiques croissantes.
Les partis d’opposition en Corée du Sud réintroduisent un projet de loi pour enquêter sur les accusations d’insurrection contre le président destitué Yoon Suk-yeol.
Un expert basé à Séoul explique comment la tempête politique en Corée du Sud — déclenchée par la loi martiale et le drame de la destitution — divise les opinions.
Un journaliste basé à Séoul détaille les débats sur la destitution en Corée du Sud et les défis juridiques, attirant l’attention mondiale au milieu des dynamiques politiques en cours.
Les troubles en Corée du Sud autour du mandat d’arrêt contre le président Yoon Suk-yeol soulèvent des inquiétudes concernant la réputation mondiale du pays, avertit un expert.