
Le président destitué de la Corée du Sud, Yoon, arrêté dans une affaire de loi martiale
Le président destitué de la Corée du Sud, Yoon Suk-yeol, a été arrêté après un affrontement, déclenchant des débats sur l’imposition de la loi martiale.
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Le président destitué de la Corée du Sud, Yoon Suk-yeol, a été arrêté après un affrontement, déclenchant des débats sur l’imposition de la loi martiale.
Le président destitué Yoon sera interrogé sur son projet avorté de loi martiale au milieu d’affrontements dramatiques à la résidence présidentielle de Séoul.
Le président destitué Yoon devient le premier dirigeant en exercice détenu pour une brève imposition de loi martiale en Corée du Sud.
Un tribunal sud-coréen prolonge le mandat d’arrêt contre le président destitué Yoon Suk-yeol, ouvrant la voie à une deuxième initiative judiciaire.
Le président suspendu Yoon Suk-yeol de Corée du Sud pourrait bientôt quitter sa résidence officielle, bien qu’une arrestation reste non confirmée, rapportent les médias locaux.
Les enquêteurs sud-coréens ont renouvelé leurs efforts pour arrêter le président destitué Yoon, au milieu de confrontations tendues et d’affrontements physiques à sa résidence.
La Cour constitutionnelle de Corée du Sud ajourne la première session du procès en destitution de Yoon en raison de son absence, avec des arguments supplémentaires prévus jeudi.
La Corée du Sud réorganise les structures d’atterrissage des aéroports après le fatal crash de Jeju Air, visant une sécurité améliorée d’ici la fin de 2025.
Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol manquera la première audience de destitution en raison de préoccupations de sécurité non résolues alors que des efforts sont en cours pour faire appliquer un mandat d’arrêt.
Le chef du Service de sécurité présidentielle de la Corée du Sud, Park Jong-joon, démissionne au milieu d’une enquête pour obstruction présumée à des opérations anti-corruption.