L’impasse arrête la tentative d’arrestation du président Yoon
Une impasse dramatique de cinq heures à Séoul a arrêté l’arrestation du président destitué Yoon Suk-yeol après une tentative ratée de loi martiale, marquant une première historique.
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Une impasse dramatique de cinq heures à Séoul a arrêté l’arrestation du président destitué Yoon Suk-yeol après une tentative ratée de loi martiale, marquant une première historique.
La Cour constitutionnelle de la Corée du Sud commencera les audiences du procès en destitution du président Yoon le 14 janvier, avec une session de secours prévue le 16 janvier.
Les enquêteurs sud-coréens ont interrompu l’arrestation du président destitué Yoon Suk-yeol lors d’un face-à-face tendu, invoquant des préoccupations de sécurité.
Les dirigeants militaires sud-coréens, le général Park An-su et le lieutenant-général Kwak Jong-keun, sont inculpés pour des accusations liées à une brève application de la loi martiale.
La Corée du Sud entre dans l’histoire alors que les enquêteurs cherchent à arrêter le président destitué Yoon après un bref épisode de loi martiale.
Des enquêteurs de l’unité anticorruption de Corée du Sud confrontent des soldats dans une tentative audacieuse d’arrêter le président destitué Yoon Suk-yeol à la résidence de Séoul.
Les autorités sud-coréennes préparent un mandat d’arrêt sans précédent contre le président destitué Yoon pour des accusations d’insurrection.
L’équipe d’enquête sud-coréenne fait un geste audacieux en tentant d’arrêter le président destitué Yoon Suk-yeol à la résidence présidentielle.
La police sud-coréenne interdit au PDG de Jeju Air, Kim E-bae, de quitter le pays dans le cadre d’une enquête sur un accident mortel impliquant un jet de passagers.
La police sud-coréenne a dispersé les partisans du président destitué Yoon Suk-yeol près de la résidence présidentielle à Séoul après qu’un mandat d’arrêt a été émis par un tribunal de Séoul.