
Crise en Corée du Sud : le président destitué résiste à l’arrestation
Scènes dramatiques en Corée du Sud alors que le président destitué résiste à son arrestation après un décret de loi martiale avorté, aggravant une crise politique.
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Scènes dramatiques en Corée du Sud alors que le président destitué résiste à son arrestation après un décret de loi martiale avorté, aggravant une crise politique.
Un affrontement tendu en Corée du Sud a arrêté la tentative d’arrestation du président Yoon Suk-yeol, alimentant le débat sur l’application de la loi et la responsabilité.
Confrontation historique en Corée du Sud alors que les enquêteurs échouent à arrêter le président destitué Yoon Suk-yeol dans un climat de haute tension politique.
Plus de 100 pompiers ont combattu un incendie à Seongnam alors que des dizaines ont été sauvés d’un bâtiment commercial, les autorités enquêtant sur la cause.
Les enquêteurs à Séoul échouent à arrêter le président destitué Yoon lors d’une impasse tendue et sans précédent.
Les enquêteurs ont annulé une tentative d’arrêt du président destitué Yoon en raison de préoccupations de sécurité, déclenchant des protestations à Séoul exigeant des comptes.
Une impasse dramatique de cinq heures à Séoul a arrêté l’arrestation du président destitué Yoon Suk-yeol après une tentative ratée de loi martiale, marquant une première historique.
La Cour constitutionnelle de la Corée du Sud commencera les audiences du procès en destitution du président Yoon le 14 janvier, avec une session de secours prévue le 16 janvier.
Les enquêteurs sud-coréens ont interrompu l’arrestation du président destitué Yoon Suk-yeol lors d’un face-à-face tendu, invoquant des préoccupations de sécurité.
Les dirigeants militaires sud-coréens, le général Park An-su et le lieutenant-général Kwak Jong-keun, sont inculpés pour des accusations liées à une brève application de la loi martiale.